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Prêt pour la Guerre Eternelle  Empty Ven 30 Juin - 16:04

Delaunay Constance
• Sexe : Féminin

   • Caste : Sang Melé

   • Nature : Néphalim

   • Âge : 77 ans

   • Lieu et date de naissance : Quelque part dans le Royaume de France dans la région de la Loire

   • Origine sociale : Paysanne




   
• Métier : Elle est le Cavalier de la Guerre et de la Paix, bien qu’avec le climat international actuel, la première fonction l’emportera sans doute sur la seconde.

   • Croyance : L’on pourrait croire que la révélation de sa nature a guidé Constance vers une foi aveugle et la conscience de son devoir, pourtant, l’existence nomade et la découverte de champ de bataille toujours plus meurtrier ont forgé dans l’esprit de la Cavalière des conflits une conviction profonde : celle qu’elle conduira l’humanité vers l’autodestruction en lui faisant prendre conscience de sa nature bestiale.

Par bien des aspects, le XIXème siècle fut l’un des, si ce n’est le plus cruel de l’histoire de l’humanité. Les ambitions de conquêtes démesurées de Napoléon 1er et sa chute, l’industrialisation sans limite qui transforma les paysan laborieux en ouvrier exploiter sans aucune considération pour leur existence, les mutations de la guerre augmentant considérablement le nombre de victime et déplaçant de plus en plus les combats vers les grands centres de populations ont forger une conviction profondément ancrée chez la porteuse de la destruction : le seul point commun entre tous les êtres humains sont le fait de nourrir la jalousie et la soif de sang.

Les premiers chasseurs cueilleurs ne se sont t-ils pas affronté pour convoiter le terrain de chasse de leurs voisins ? Les grands empires coloniaux s’affrontant pour le contrôle des ressources abondantes ou pour contraindre les échanges commerciaux dans les pays préférant l’isolation ne sont que les héritiers de ses individus, et d’autres encore prendront leur place. Beaucoup croient au progrès comme vecteur de stabilité et de paix, mais Constance est convaincue qu’au contraire, il sèmera sur son chemin la mort et la destruction a une échelle si grande qu’aucun humain sur terre n’est capable de l’appréhender.

Et elle se tiendra en pointe de cette destruction aveugle : elle apportera le jugement dernier, celui de l’autodestruction de l’humain dans sa soif de sang inépuisable. Elle ramènera chaque individu, de l’humble paysan au noble le plus sophistiqué, à sa nature la plus primaire, bestiale, à sa haine pour autrui si finalement constructible : le pauvre jalouse le riche, le blanc méprise le noir et entretien le « péril jaune », le colonisé hait ses colonisateurs. La cause lui importe peu : ceux qui affirment être « juste » ne sont que des menteurs dissimulant leurs soif de puissance et de domination. Lorsque tout ne sera de charnier, l’égalité chère à sa patrie sera enfin atteinte : dans la boue et le sang des morts, tout le monde est égaux, et c’est le seul message qu’elle offre aux combattants, peu importe leur bannière...

   


Cavalier de l’Apocalypse


   • Visage : Bien que la guerre est souvent été considérée comme une chose avant tout masculine, il n’est pas rare que les sociétés lui donnait un visage féminin. Athéna et Bellonne ont incarnées les conflits dans la Grèce et la Rome antique, Amaterasu confia le Katana de Kusanagi à la dynastie impériale japonaise, les femmes Vikings étaient craintes pour leur férocité au combat, ou encore les nomades Scythes de l’antiquité ou les femmes chevauchaient en pantalon alors que les hommes grecs vivaient en jupe. Constance est fière de sa féminité, de ses lèvres pulpeuse et de sa crinière de feu, elle n’a pas beaucoup d’effort a faire pour prendre soin de son visage puisque son corps se répare sans cesse, mais celui-ci affiche un ovale sans défaut. Son son nez n’a rien d’exceptionnel, son regard en revanche interpelle par sa nature artificiel : il vire souvent au rouge durant les combats, comme si sa propre soif de sang s’incarnait dans l’action.

   • Corpulence : Si Constance n’est pas bien grande, elle est élancée et équilibrée. Sans être très musclé, il est évident que son corps est taillé pour l’effort physique, et de nombreux soldats l’ayant observé jurèrent avoir aperçu l’une des figures féminine de leur culture sur le champ de bataille. Les sculpteurs de la renaissance se seraient sans doute damner pour pouvoir la représenter, en concurrence avec les nombreux peintres, sa silhouette aurait en effet parfaitement incarner l’idéal qu’il se faisait de l’humanité antique, supérieure a leurs yeux a celle du moyen âge, mais en cette ère pour la haute société vit toujours sous le diktat victorien et ou la beauté est synonyme de forte corpulence, Constance ne génère que peu de désir et s’en moque : elle veut susciter le conflit, non la luxure.

   • Style vestimentaire : Le style vestimentaire de Constance évolue en même temps que celui de la guerre. Petit a petit, sa garde robe perd en couleur vive pour adopter des teintes plus sombre et uniforme, les chapeaux deviennent plus petits ou se métamorphose en casquette ou casque, les cuissardes cèdent leurs place aux bandes molletière, mais une chose reste : ses armes doivent pouvoir être accessible a chaque instant.

   • Signes particuliers : Aucun en dehors de sa chevelure de flamme ou de son regard

   • Cicatrice(s) & ou Tatouage(s) : Aucun en dehors du tatouage de cheval au galop que l’on trouve sur son ventre, qui permet d’invoquer la monture

   •Malformation(s) ou handicap(s) : Aucun


   


   • Qualités : Destinée a devenir une cheffe de guerre, Constance dispose bien entendu des qualités que l’on individu d’un individu occupant cette fonction : elle dispose d’un charisme naturel qui l’aide a rallier les troupes de sa voix forte et tonitruante, capable d’éveiller la soif de bataille et le désir de victoire dans le cœur de n’importe quel soldat. Elle comprend naturellement la science de la guerre, semble connaître chaque stratégie, chaque tactique, et la réponse a apporter a chacune avec la précision d’une montre suisse. De la même façon, le maniement des armes lui est aussi naturel que respirer et elle sera se servir aussi facilement d’un sabre de cavalerie que d’un fusil a verrou en passant par la grenade a main. Sa psyché est indestructible : Constance s’est relevée de tous ses échecs, toutes ses déceptions, pour repartir de l’avant en croyant en son destin. Lorsqu’elle entreprend quelque chose, elle n’abandonne jamais et s’obstine parfois de façon déraisonnable, mais sa nature même l’aide a accomplir ses objectifs.

   • Défauts : Constance manque clairement d’empathie et de compassion pour le genre humain, comme le vivant en général. Plus elle vieillit, et plus l’aigreur s’empare de son âme. A cause d’une enfance trop difficile, sans cesse rejetée par les autres, et avoir traversé les champs de bataille du monde entier, de la guerre civile américaine a la guerre mexicaine, de la guerre franco-Prussienne a la guerre Sino-Japonaise, en passant par l’Éthiopie et le Siam, elle est convaincu d’y avoir vu le vrai visage de l’être humain, une bête sauvage assoiffée de sang, animée par le désir de s’emparer des biens d’autrui, de haïr l’autre pour ses différences, se dissimulant derrière une notion de « civilisation » qui ne sert qu’à justifier l’exploitation, l’esclavage, la suprématie de la « race blanche » et la souffrance qu’une petite élite inflige a tous les autres, elle n’a plus aucun espoir de rédemption pour les hommes. Et lui faire changer d’avis sera une tâche pratiquement impossible, tant cette dernière est aussi opiniâtre que bornée.

L’on ne peut pas dire également que les bonnes manières étouffent Constance dans son existence : peut-être par effet de rejet de l’éducation de ses parents, elle est devenu extrêmement familière, tutoie tout le monde, n’emploie aucune formule de politesse et appui toujours là ou cela fait mal, même dans une simple conversation. Le moins que l’on puisse dire est qu’elle n’est pas une femme très agréable et semble sans cesse rechercher le conflit, ce qui est loin d’être une affirmation erronée…

   • Aime : Aussi étrange que cela puisse paraître, Constance aime la Guerre, parce que selon elle, elle révèle le vrai visage de l’humanité. Son intelligence au service de la plus ancienne et la plus grande tuerie de masse, la soif de sang et la haine pour l’ennemi, la volonté de vivre tel un parasite refusant de disparaître… Il n’y a pas de faux semblant sur un champ de bataille, et le chaos qu’il engendre lui permet de se sentir vivante et en parfaite santé.

   • Aime pas : Les mensonges, la politique, les négociations longue rempli de non-dit et de formules alambiquées pour dissimuler ses véritables intentions. Constance n’aime pas le calme, elle a besoin d’action et de défi stimulant son imaginaire, elle a besoin de conflit pour prospérer et se sentir vivante, fort heureusement pour elle, l’époque marche droit vers l’autodestruction des grandes puissances, et elle ne manquera guère d’occasion de pouvoir profiter du climat international pour jouir une fois de plus de la guerre.

   • Phobie : Au vu de sa nature, elle ne craint pas grand-chose, hormis peut-être de devoir supporter une longue conversation avec un philosophe ou un homme politique.

   •Tic(s) ou manie(s) : Aucun

   • But et Ambition : Ni plus ni moins que l’autodestruction de l’humanité dans un massacre d’une rare intensité afin de mettre fin au mensonge et de révéler ce qu’elle perçoit comme la véritable nature de l’homme.


Adoua, premier mars 1896

Par bien des aspects, l’Éthiopie est une nation singulière : dernier bastion du christianisme hérité de l’Empire Romain. Elle a résisté durant des siècles a la pressions des divers sultanat Égyptien, Turques et Soudanais d’un côté, Somalien de l’autre, maintenant ses traditions religieuses. Aujourd’hui, ce même monde Chrétien est de retour, l’Italie, héritière de Rome, entend bien affirmer sa suprématie coloniale et obtenir « sa place au soleil ». Avec le retrait anglais et les ambitions françaises revue a la baisse, la jeune Italie entend bien affirmer sa place au sein des « nations civilisatrice » en faisant plier le genou de la petite Éthiopie, nation peuplé d’individu pas vraiment humain, puis-qu’après tout, ils ne sont guère blanc, ne s’exprime pas dans une langue hérité du Latin et ne vivent pas sur le bon continent. Bien entendu, ce peuple fier n’entendait guère subir le sort du reste de l’Afrique, vaincue, asservie et pillée par l’arrogance et la soif de richesse inépuisable de l’Europe occidentale. Elle parvint a trouver du soutien militaire auprès des puissances coloniales rivale, France, Royaume Uni, mais également Russie, pour défendre son territoire. L’Éthiopie était devenue un des lieues de tensions internationales, ou les nations « civilisés » s’affrontaient par « proxy » afin de tester leurs forces, et Constance Delaunay, qui avait flairer l’odeur du sang et de la poudre, n’avait guère tardé a s’y rendre.

Elle s’était faite passée pour une marchande d’arme française et était venue avec des caisses de marchandise rempli du nouveau fusil Lebel. Une arme imparfaite, qui ne tenait pas la comparaison face aux Mausers Allemands, mais qui serait parfaite face aux troupes Italienne. La Cavalière le savait bien, puis-qu’après avoir montré de l’intérêt pour le marchand d’arme en se servant de ses charmes, elle avait retourné l’arme contre lui, l’envoyant servir de nourriture aux poissons au fond de l’océan durant le trajet pour prendre sa place. Personne n’avait posé de question durant le reste du trajet, elle inspirait une forme de crainte qui poussa ceux qui voudraient protester en silence. Pour les autres, du moment que les armes étaient livrées, peu importait l’identité de celui ou celle qui accomplirait la transaction. Face aux Éthiopiens, elle s’était présentée comme une sympathisante de la cause, une « militante » anti-colonialiste. Pourtant, c’était très éloignée de la vérité : elle n’aimait pas le Colonialisme car elle n’aimait guère l’humanité, qui n’était pour elle qu’une race violente destinée a l’auto-destruction. Toutefois, la cause Éthiopienne avait attiré sa sympathie, alors après avoir fait la démonstration de « l’ingénierie Française », elle avait demandé l’autorisation de pouvoir combattre, et on lui avait accordé, peut-être en sentant que lui dire non ne changerait rien, ou de crainte qu’elle reparte avec les fusils dans le cas contraire.

Mais l’ancienne orpheline avait toutes les raisons de soutenir les « indigènes » : elle aussi avait subit le rejet de ses « classes dirigeantes », ses propres parents adoptifs l’avaient rejetée, la traitant de monstre parce qu’elle était différente. Ce qu’elle venait observer aujourd’hui, c’était la chute de l’orgueil occidental. Elle était venu humilier cette arrogante Italie, qui pensait que sa position géographique et la couleur de peau de ses soldats lui offrirait la victoire. Les malheureux soldats Italiens ne savaient rien de la géographie locale, de la manière d’y faire la guerre, il ne parlait guère la même langue que leurs aides colonisés, leur équipement était vétuste et il faisait face a un adversaire infiniment plus nombreux et motivé, ils défendaient leurs patrie après tout, alors que les attaquants poursuivaient la chimère d’une gloire qui était largement en dehors de leur portée. Le champ de bataille était recouvert de poussière, dominé par les cris et le son des fusillades, l’on entendait l’artillerie des deux camps tonner, l’odeur de la poudre ainsi que les nuages laissé par les fusils les plus anciens recouvrant l’horizon, empêchant les officiers de pouvoir adapter leurs consignes a l’évolution de la bataille. Juchée sur un cheval, Constance suivait les ordres du noble Éthiopien commandant leurs colonne sans hésiter.

Pourquoi ? Parce qu’elle savait qu’il les dirigeaient vers le combat, et ainsi elle obtiendrait la violence et le sang qu’elle recherchait. Elle épaula son fusil, remarqua un Italien qui tentait de se préparer a défendre. Elle pressa la détente, et bien que le Lebel n’était pas d’une précision impressionnante, la balle se logea dans la tête de l’infortuné qui plongea au sol dans une expression de survivre, son visage se recouvrant de son propre sang. Pas le temps de recharger, elle remis son fusil sur son épaule et tira un sabre de cavalerie : les Italiens commençaient a répliquer, certains chevaux s’effondraient sous les balles, mais ils étaient trop nombreux et trop bien organisé : elle donna un coup circulaire en hurlant, dans un cri qui était difficile de définir, a mi chemin entre l’extase et la rage : une tête s’envola dans une gerbe de sang et alors qu’un autre soldat tentaient de t’interposer, la cavalière tira sec, poussant son cheval a se cabrer, et ce dernier se défendit en frappant de ses sabots le malheureux dont le crâne fut fracassé. Alors qu’il s’effondrait au sol, elle le fit piétiner par sa monture sans aucune pitié, puis repris son chemin au galop, se dirigeant vers les canons tout en profitant d’une pause pour recharger son arme.

Alors qu’elle s’approchait de ses derniers, une balle traversa son bras gauche : un officier d’artillerie avait tirer son revolver de service pour tenter de se défendre, et Constance serra les dents pour supporter la douleur. Cette dernière fut toutefois vite remplacée par la sensation de sa peau se régénérant, signe de sa nature surnaturelle, qui fit écarquiller les yeux au jeune Italien qui ne s’attendait certainement pas a une surprise aussi malheureuse. La cavalière profita de son incrédulité pour épauler son fusil et viser le cœur. Il voulu se reprendre et tirer de nouveau, mais il n’en eu jamais l’occasion. D’autres cavaliers suivaient derrière elle, provoquant la fuite des servants du canon. Elle se retourna et observa le champ de bataille : les Italiens, désorganisés, se rendaient ou fuyaient en abandonnant leur matériel lourd derrière les troupes Ethiopiennes, laissant derrière eux des cadavres des deux camps, égaux dans le statut de victime de la gloutonnerie de leurs dirigeants, de la violence de la nature humaine et de la soif de sang que provoquait les conflits. Elle sourie, satisfaite du spectacle, et hurla en levant son fusil avant de repartir au galop. Il y avait encore d’autres soldat a tuer, cette journée était une journée de l’épée et de la poudre, une journée de guerre, de souffrance et de sang, le seul endroit ou Constance Delaunay se sentait réellement chez elle...

   
• Comment avez-vous connu Déliquescence ? Par la fonda et un ami commun

   • Comment le trouvez-vous ? Très classe

   • Quelles sont vos disponibilités ? J’essayerais de faire un post par semaine au minimum

   • S'il advenait que vous quittiez le forum, quel fin réservez-vous à votre personnage ? Sans doute terrasser par sa propre soif de sang

   • Des suggestions ou idées à apporter ? ras

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Prêt pour la Guerre Eternelle  Empty Ven 30 Juin - 18:04

Bienvenue à toi !

Je te remercie d'avoir rejoint Déliquescence !

Tu as jusqu'au 30 juillet pour finir ta fiche ^^

Si tu as besoin d'un délai supplémentaire, n'hésites pas à demander !
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Prêt pour la Guerre Eternelle  Empty Mar 18 Juil - 21:47


Validation





Ce fut un réel plaisir de lire ta fiche. Guerre est une créature flamboyante qui promet de douces aventures.

Tu es bien parvenu à saisir son essence et par ce fait, je te remercie.

Tu es validé. Il ne te reste plus qu'à ouvrir un carnet et créer ta demande de rp.

N'hésites pas à participer au flood ou partager tes créations.


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